• Un grand classique! 

     Joyeux anniversaire Rollyboy!

      

    Bonjour tout le monde!

     

    Joyeux anniversaire Rollyboy!

    Je me remémore une journée d’anniversaire tout à fait inusitée où j'ai reçu la visite d'une copine dont sa féminité n’avait d’égale que son attrait impressionnant. Pour dire vrai, Émilie était une femme des plus exquises. Grande avec des cheveux bouclés d'or, possédant un corps digne des plus grands modèles nus. Tout sur elle était d’une perfection irréprochable: son regard à la fois doux et perçant que lui procurèrent ses yeux pers, ses magnifiques pommades lui attribuèrent une allure enjouée, son sourire que lui gratifièrent ses dents d’une blancheur immaculée et , enfin, ses lèvres teintées d'un rouge naturel rendirent son éclat encore plus attrayant.

     

    Enfin bref, par un bon matin, elle décida de venir me souhaiter une bonne journée d'autant plus que c'était mon anniversaire de naissance. Elle savait déjà que cette journée s'annonçait être particulièrement surprenante pour votre humble serviteur.

     

    Elle sonna à quelques reprises à ma porte attendant que je descende les marches. Vu l’heure précoce de sa visite, je n'étais presque pas habillé lorsque

    Joyeux anniversaire Rollyboy!

     je lui ouvris la porte de mon appartement. À vrai dire, je ne portais que mon slip pour unique vêtement et dans lequel mon sexe se reposait bien sagement avant d'entreprendre une aventure qu’il ne pourra jamais oublier.

     

    Voyant la belle Émilie au pas de ma porte, je l'ai invitée à entrer. Nous allâmes vers le salon sans me douter que j'allais  y recevoir toute une surprise pour mon anniversaire. Émilie dit qu'elle voulait simplement me souhaiter bonne fête et, pour ce faire, qu'elle avait un cadeau bien spécial.

     

    Joyeux anniversaire Rollyboy!

    C'est ainsi qu'elle s’avança  vers moi pour me faire la bise. Mais une fois que cela fut fait, elle décida de passer à autre chose. Elle s' est accroupie bien délicatement au niveau de mon slip en me prévenant que je méritais beaucoup plus qu'une simple bise pour cette journée somme toute unique dans la vie d'un homme. Après tout, notre anniversaire n’arrive qu’une fois par année.

     

     

    Fixant mon slip comme par magnétisme, elle posa l’une de ses mains sur celui-

    Joyeux anniversaire Rollyboy!

    ci. Tapotant, caressant, palpant et tâtant avec un certain amusement la verge qui se cachait derrière ce caleçon devenu inutile, voir contrariant dans les circonstances. Il n'en fallait pas plus pour que ma verge commence à prendre du volume inexorablement. De sa main, elle baissa avec un doigté inhabituel ce caleçon afin de pouvoir contempler l'objet tant convoité. Voyant enfin cette verge où se trouve un gland épanoui. Elle s’exclama d’une voix tremblante de désir inavouable: "J'adore les sexes circoncis et le tien est magnifique."

     

     

    Elle le regarda avec une sensation de gloutonnerie presque contemplative cherchant par où commencer sa dégustation. Par ce gland si adorable qui semblait lui sourire? Serait-il plutôt préférable d’amorcer par un massage que seules les plus grandes actrices des films érotiques sont capables de prodiguer à ces testicules si alléchantes, remplies de leurs spermes si chauds, si onctueux et dont leur consistance faisait penser à du miel pur? Après une légère hésitation, elle décida de m'offrir le tout avec une mansuétude absolue.

     

    Joyeux anniversaire Rollyboy!

    C'est ainsi qu'elle aspira cette verge, la partie de mon corps tant convoitée, avec ses lèvres douces comme la pulpe d'une pêche bien mûre. Il n'en fallait pas plus pour qu’elle se remplisse de son précieux sang augmentant par le fait même de volume de manière, disons-le avec franchise et sans détour, plus que considérable. Ses lèvres avec leurs mouvements de va-et-vient me firent littéralement miroiter. Sentant que mon plaisir semblait être prêt d’atteindre son summum, elle entreprit d'enlever sa jupe et sa petite culotte car elle avait bien d'autres projets en tête.

    Elle me proposa de m'étendre sur le divan. Ne voulant pas lui désobéir en homme galant que je suis, j'ai obtempéré à sa demande tel un élève qui doit obéissance à son institutrice. Une fois que je fus couché selon son désir, ÉmilieJoyeux anniversaire Rollyboy! s'assied sur mon sexe en pleine ébullition. Elle préféra toutefois se placer de dos face à moi afin de m'offrir à la fois sa chevelure blonde comme les champs de blé et son fessier gracieusement galbé. Que puis-je dire de ce spectacle? Tout était d'une perfection jusque-là rarement égalée. J'admirais ce dos que je caressais avec une délicatesse appropriée. Émilie alla jusqu'à écarter ses fesses avec ses mains, et ce, d’un geste de provocation pour que je puisse apercevoir le lieu interdit entre tous. "Tout ce qui est interdit est toujours le plus tentant". N'est-ce pas?!

    Notre respiration s'accentua de plus en plus. Mais, Émilie voulu m'offrir

     

    Joyeux anniversaire Rollyboy!

    encore davantage pour mon anniversaire. D'un geste rapide comme l'éclair, elle transféra mon sexe trempé par sa sécrétion de son tunnel intime vers cette zone que je convoitais depuis le début tout en me soufflant de ne pas me retenir.

    Me retenir? Comment était-ce possible?

    La seule issue possible? Un orgasme indescriptible.

    La terre s'arrêta subitement de tourner.

    Le temps n'existait plus.

     

    Joyeux anniversaire Rollyboy!

    N'en pouvant plus, j'ai émis un cri de jouissance à plein poumons: "Merci Émilie!". Ce sont avec ces mots tout courts que j'ai exprimé ma satisfaction jouissive. C’était le beau cadeau que la vie me permit de recevoir par l'entremise de cette sirène aux yeux bleutés et au corps ravissant.

    Une fois remis de nos émotions, nous avons décidé de prendre une douche. Là encore, Émilie s'offrit de  me laver avec une générosité sans mesure. Elle n'oublia aucune partie de ce corps enchanté et rempli de gratitude pour une telle libéralité.

     

    Elle retourna chez-elle non sans avoir préalablement m'embrasser de nouveau d'un doux et tendre baiser.

     "Joyeux anniversaire mon beau." me dit-elle en quittant mon appartement. 

    Rollyboy

     

    P.S. Cette histoire est véridique. Seul le prénom de la jeune dame a été modifié pour préserver son anonymat.


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  • Sarah! Quel tendre souvenir de toi.

    Sarah! Quel tendre souvenir de toiJe me rappelle d'une femme rencontrée lorsque j'habitais dans l'une des nombreuses résidences de l'université Laval à Québec. Vous savez?! Une de ces femmes qui savent rendre tous les hommes totalement fous d'elles simplement par un regard, par un sourire et par leurs parfums.

    Par un heureux hasard, c'est le moins que je puisse dire, nous nous sommes rencontrés à quelques reprises. Des fois à la cafétéria, d'autres fois à la bibliothèque du campus ou encore dans le Salon des étudiants-es du pavillon où je résidais. Cette femme me plaisait beaucoup surtout que mes critères de beauté sont depuis toujours élevés. Cela fait parti de mes caractéristiques personnelles. Il m'arrivait souvent de voir la belle Sarah dans mes rêves les plus interdits.

    JSarah! Quel tendre souvenir de toi.e la voyais s'étendre de manière langoureuse sur mon corps, le caressant de ses mais voluptueuses, m'embrassant avec passion et ardeur tout en me chuchotant des mots parfois doux, parfois grivois.

    Un tel rêve pouvait-il se concrétiser? Pouvais-je même oser espérer un de ces baisers torrides? La réponse à mes questions alla bientôt se concrétiser.

    Or, rien annoncait la réalisation d'un tel fantasme jusqu'à une certaine Sarah! Quel tendre souvenir de toi.soirée où elle et moi avions décidé de boire un petit quelque chose dans ma chambre d'étudiants. où j'allais bientôt étudier une matière qui ne faisait guère partie de mon cursus scolaire.

    Sarah était une jeune et jolie dame, âgée dans le début de la vingtaine, avec tous les attributs féminins que cela lui conférait; seins formidables, un corps de rêve, des fesses galbées et un visage presque angélique. Le tout agrémenté de lèvres pulpeuses.

    Elle m'avait confié qu'elle Sarah! Quel tendre souvenir de tois'ennuyait terriblement dans la vie et qu'un peu de chaleur humaine lui ferait le plus grand bien. Je lui dis alors que je vivais la même chose. «Dis-moi, Rolland, crois-tu que ta chambre est bien insonorisée?» me demanda-t-elle? «Bien sûr que si. De plus, la majorité des chambres sont vides vu le weekend qui débute» lui répondis-je. Une certaine lueur apparue dans ses yeux d'un bleu limpide. Une lueur qui en disait long sur ces intentions. Mon rêve allait-il se concrétiser? J'allais bientôt en avoir le coeur net.

    Elle se dirigea vers la porte de ma chambre afin de la vérouiller. «Nous ne risquons pas d'être dérangés de cette façon.» Me dit-elle! Sa jolie jupe laissait apparaître un fessier que j'aurai bientôt à ma disposition.

    Elle exigea de me laisser-faire. Ce que j'ai accepté avec un plaisir inouï.

    Elle entreprit d'enlever ses vêtements à la manière d'une stripteaseuse professionnelle. Il va s'en dire que mon envie pour cette femme formidable s'accrûe de manière quasi exponentielle. Elle me dévoila ses seins d'une fermeté exquise, les formes de son corps dont mes yeux suivirent leurs moindres mouvements, ses jambes qui s'ouvriront aux mouvements de mon bassin et ses lèvres ... intimes.

    Sarah! Quel tendre souvenir de toiQuoi de plus beau que ce corps de femme nu qui se donna à moi? Ton corps et le mien seront bientôt unis par le péché de la chair. Ta sensualité avait un petit je-ne-sais-quoi de particulier. Était-ce ta désinvolture, ta capacité de provoquer les hommes autour de toi ou encore les lignes de tes courbes? C'est-là une question que je n'ai toujours pas résolue.

    «Laisse-toi faire!» me dit-elle avec sa voix toute douce en avancant versSarah! Quel tendre souvenir de toi moi sur la pointe de ses pieds mignons. Elle enleva chacun de mes vêtements avec légèreté tout en embrassant de ses lèvres chaleureuses chaque partie exhibée de mon corps. Puis, elle s'agenouilla devant moi qui, bien assis sur sa chaise, n'en croyais pas mes yeux. Glissant ses mains sur mes cuisses, elle les dirigèrent vers mon membre viril déjà prêt à savourer le savoir-faire de mon invitée. Elle le lècha avec délectation sans en omettre un seul endroit. Sa bouche aspira la peau satinée de mes testicules, parfois en les mordant sans toutefois leur faire le moindre mal. Je me rappelle même la sensation de ses lèvres lorsqu'elle les embrassa tout en me regardant droit dans mes yeux afin d'y déceler tous les signes d'excitation. 

    Voyant les veines de mon membre être gonflées de sang à leur maximum, elle se leva et se retourna dos à moi pour venir s'empâler sur mon pieu d'amour. Son lieu de plaisir étant déjà abondamment humide, elle n'eut aucune difficulté à se laisser-aller vers le chemin de l'extase sublime, retenant, par crainte d'être entendue par mes voisins, le bruit de sa respiration de plus en plus haletante. De mon côté, je l'agrippais du mieux que je le pouvais à l'aide de mes bouts de bras tout en me collant le buste sur son dos à la peau tendre.

    Le lit étant situé à quelques mêtres devant nous, nous décidâmes de nous y jeter avec la rapidité d'une flèche vers sa cible.

    Sarah! Quel tendre souvenir de toiUne pluie de caresses et de baisers accompagna nos positions sexuelles dignes du Kamasûtra. Elle était ma souveraine du moment. J'étais son Mâhârâdjâ le temps d'une soirée.

    Mais quelle soirée mémorable! L'une de celles qui a fait de ma vie un petit Paradis. Un Paradis que nous atteignîmes en même temps avec des cris de jouissance. C'était bon. C'était chaud. C'était mirifique.

    Mon invitée est retournée à sa chambre vers le milieu de la nuit afin d'éviter de faire la rencontre de mes voisins.

    Merci Sarah pour ce tendre souvenir de toi.

    Signé:

    Rollyboy

    (Un homme comblé par la vie)

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  • Trajet inoubliable!Trajet inoubliable!

    Par un samedi après-midi, j’ai pris le bus afin de me rendre à une ville située sur la région de la côte-nord. Il s’agit dans les faits d’une des nombreuses régions qui ont été développées suite à l’exploitation minière et à leur potentielle hydro-électrique au cours des années 1950 et 1960. J’ai eu la chance d’être né dans une des villes qui s’y trouvent et d’y avoir vécu de belles années même si ma situation physique requérait des traitements médicaux pour lesquels je devais me rendre dans les centres médicaux de la métropole du Québec.

    Je reste maintenant dans la belle ville de Québec depuis plus de 15 ans et beaucoup plus si je tiens compte des années où j’ai résidé sur le campus de Trajet inoubliable!l’université Laval. Bien entendu, je vous raconterais certaines de mes aventures sexuelles vécues durant cette époque tout en prenant bien soin de dissimuler les éléments susceptibles de permettre l’identification de toutes ces femmes avec qui le péché de la chair fut accompli dans la joie et le plaisir partagé. Le respect est toujours de mise dans mon blogue.

    Je reviens au récit de  mon aventure. J’ai donc pris le bus de Québec en direction de la côte-nord. Un trajet qui peut prendre plus de douze heures de route en tenant compte des arrêts considérablement  nombreux en période estivale. Je m’étais donc préparé à affronter ce voyage comme il se doit : lecture, bouteille de boissons gazeuses, de quoi grignoter et autres effets utiles pour rendre le trajet le plus confortable qui soit. Or, je ne m’attendais pas à avoir pour voisine de siège une jeune dame non seulement jolie mais également sympathique. Elle devait mesurer environ 1m68. Son allure quelque peu rebelle accompagnée d’un doux visage du début de la vingtaine me comblait au plus aux points. Étant élevé avec de bonnes manières, je lui offris quelque chose à lire et même de mes provisions car elle n’avait pas, me semblait-il, grand-chose pour se sustenter durant le trajet. «Un gentleman véritable doit toujours être aux services de ces dames.» me répétait souvent ma défunte mère.

    Trajet inoubliable!Cette dame, que j’appellerai Nancy pour le besoin de la rédaction, avait tout de même une versatilité des plus agréables. Ce qui me facilita à oublier les heures interminables passées dans le bus jusqu’à ce que le soleil disparut laissant place à la nuit et à ses auras mystérieux. J’adore la nuit puisque tout ce qui est défendu, prohibé, censuré et tabou peut être accompli avec un plaisir  délinquant mais tellement gratifiant. J’utilise bien sûr une allégorie pour expliquer un tant soit peu ce que la nuit provoque en moi. Ce qui ne signifie pas que je sois immoral. Bien au contraire! Nancy et moi parlions de nos rêves, de nos projets et de nos séjours respectifs sur la côte-nord. Voyant que la fatigue m’envahissait, je lui ai alors demandée si je pouvais dormir un peu afin de refaire mes forces. Ce à quoi, elle me dit que cela était tout à fait normal en ajoutant que si elle pouvait faire quoi que ce soit pour augmenter mon confort je n’avais qu’à le lui dire. Il ne m’en fallait pas plus pour me faire rougir provoquant chez elle un sourire particulier.

    Trajet inoubliable!Je m’installai donc pour roupiller quelques heures. Croyant m’être endormi, Nancy en profita pour baisser avec silence ma fermeture-éclair. Elle en sorti un phallus qui alla bientôt sortir de son état de flaccidité. Déposant délicatement ses lèvres sur celui-ci, elle l’embrassa à répétition en passant de manière saccadée le bout de sa langue attendant le moment propice pour englober la verge qui, tel un soldat au garde-à-vous, se tenait maintenant bien droit. Ce dernier terme est approprié dans les circonstances puisque selon les dires de mes amantes de jadis mon sexe a la particularité d’être bien proportionné en largeur et en longueur. Certaines de mes ex amantes me surnommèrent le Popsicle tellement mon phallus était d’une droiture parfaite.

     S’étant assurée que personnes à bord du bus ne semblèrent avoir remarqué son acte de générosité à mon endroit, elle engloba mon phallus au plus profond de sa tendre bouche et caressa de sa langue chaude, suave et bienfaisante son pourtour tout en câlinant de sa main libre mes bourses remplies de leur crème onctueuse. Ce qui devait arriver arriva inévitablement : Ladite crème fit son chemin jusqu’à la sortie avec la vitesse de l’éclair allant frapper avec intensité, telles des estacades sur les berges d’une rive,  l’intérieur des joues de ma fée bien-aimée. Elle profita de cette gracieuse et impressionante abondance pour en avaler jusqu’à la dernière goutte tout en attendant avec une infinie patience que mon phallus redevienne au repos. Une fois le tout accompli, elle remit celui-ci dans mon pantalon et referma ma fermeture-clair avec une délicatesse angélique.

    Ce n’est que beaucoup plus tard que j’ouvris mes yeux afin de faire croire, Trajet inoubliable!mais dans le fond à qui?, à un sommeil réparateur. Nancy me demanda si j’avais bien dormi. «Je crois que je n’ai jamais aussi bien dormi depuis que je voyage en bus.» lui ai-je répondu avec le sourire. «Je suis contente pour toi.» me dit-elle tout bonnement. Continuant la route jusqu’à la destination finale.

     Arrivés à la station prévue, nous descendîmes du bus afin d’aller trouver les personnes qui nous attendirent dans le hall d’entrée. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j’ai vu Nancy crier d’une voix langoureuse à un homme : « Oh mon chéri! Tu ne peux pas t’imaginer à tel point tu m’as manquée.»

    Pour ma part, mon compagnon avait déjà pris mes valises pour les transporter dans les coffres de son auto après avoir fait au préalable les salutations d’usage.

     «Et puis? Comment s’est passé le trajet?» Me demanda dit-il. Et moi, de lui répondre : «Cela a été au-delà de mes attentes.»

     Quoi de mieux pour débuter ses vacances que de faire la rencontre de femmes si généreuses?

     

    Rollyboy

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