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Par lequebecois1962 le 27 Juillet 2013 à 02:34
Message important!
Bien le bonjour tout le monde!
Je vous remercie pour vos commentaires qui sont grandement appréciés. C'est un pur délice de rédiger mes articles et de pouvoir contribuer un tant soit peu à rendre hommage à la beauté, à la nudité féminine et à l'érotisme ainsi qu'à la sensualité.
Je dois vous avertir que je publierai mon prochain article seulement ce samedi en soirée. Aujourd'hui, j'ai reçu une amie de longue date qui m'a rendu une petite visite de courtoisie.
Rassurez-vous, elle a un conjoint. lolBref, je n'ai guère eut le temps de réaliser un nouvel article.
Je poursuivrai donc la rédaction de mon blogue très bientôt.
Portez-vous bien!
Rollyboy -
Par lequebecois1962 le 26 Juillet 2013 à 04:15
La nudité!
Rien, non rien, rien à enlever, à ôter
Rien qui gêne, qui dérange.
Le regard égaré ne trouvera plus rien.
Tout, oui tout a disparu.
La laiteuse blancheur n'est plus qu'une apparence
Plus de soie, ni satin dissimulant la peau,
Plus de riches atours, ni simples oripeaux
Le corps est nu sous nos regards étranges.
Le bas fut enlevé, et le haut disparu
Il n'est resté pour nous, pour lui, que le mot nu
Que le peintre a figé sur la toile des anges.
Un nu tout simple, déshabillé,
Impudique, sensuel, un nu sans rien
Épinglé sur un mur comme un calendrier
Qu'on ne peut accepter sans agressivité
Et qui voile les yeux
D'une étrange beauté,
Celle du nu, sans rien, tout seul,
Un nu baigné de crudité.
Deux lettres si petites, si bizarres
Que la pudeur si rare
Ne veut pas accepter
Car le nu est choquant
Et pourtant
Notre corps n'en paraît pas avare
Car tous, nous naissons nus !Source: http://www.jepoeme.com/forum/poeme/Nudite/422878/1.html#message5907887
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Par lequebecois1962 le 25 Juillet 2013 à 20:03
Je suis un épicurien.
Un épicurien est un être de très haute moralité car il reconnait que son droit au plaisir et au bonheur s'arrête là où celui de l'autre commence.
De plus, il s'impose une limite à la satisfaction de ses plaisirs afin d'en jouir au maximum.
Le plaisir disparaît lorsque la dépendance pointe le bout de son nez.
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Par lequebecois1962 le 25 Juillet 2013 à 19:52
Le romantisme est à la base de tout érotisme.
Un peu de poésie pour rendre hommage à la beauté de la femme
À une femme!
Enfant ! si j’étais roi, je donnerais l’empire,
Et mon char, et mon sceptre, et mon peuple à genoux
Et ma couronne d’or, et mes bains de porphyre,
Et mes flottes, à qui la mer ne peut suffire,
Pour un regard de vous !Si j’étais Dieu, la terre et l’air avec les ondes,
Les anges, les démons courbés devant ma loi,
Et le profond chaos aux entrailles fécondes,
L’éternité, l’espace, et les cieux, et les mondes,
Pour un baiser de toi !Victor Hugo, Les feuilles d’automne
Baiser
Quand ton col de couleur rose
Se donne à mon embrassement
Et ton oeil languit doucement
D’une paupière à demi close,Mon âme se fond du désir
Dont elle est ardemment pleine
Et ne peut souffrir à grand’peine
La force d’un si grand plaisir.Puis, quand s’approche de la tienne
Ma lèvre, et que si près je suis
Que la fleur recueillir je puis
De ton haleine ambroisienne,Quand le soupir de ces odeurs
Où nos deux langues qui se jouent
Moitement folâtrent et nouent,
Eventent mes douces ardeurs,Il me semble être assis à table
Avec les dieux, tant je suis heureux,
Et boire à longs traits savoureux
Leur doux breuvage délectable.Si le bien qui au plus grand bien
Est plus prochain, prendre ou me laisse,
Pourquoi me permets-tu, maîtresse,
Qu’encore le plus grand soit mien?As-tu peur que la jouissance
D’un si grand heur me fasse dieu?
Et que sans toi je vole au lieu
D’éternelle réjouissance?Belle, n’aie peur de cela,
Partout où sera ta demeure,
Mon ciel, jusqu’à tant que je meure,
Et mon paradis sera là.JOACHIM DU BELLAY (1542)
La femme adultère
Je la pris près de la rivière
Car je la croyais sans mari
Tandis qu’elle était adultère
Ce fut la Saint-Jacques la nuit
Par rendez-vous et compromis
Quand s’éteignirent les lumières
Et s’allumèrent les cri-cri
Au coin des dernières enceintes
Je touchai ses seins endormis
Sa poitrine pour moi s’ouvrit
Comme des branches de jacinthes
Et dans mes oreilles l’empois
De ses jupes amidonnées
Crissait comme soie arrachée
Par douze couteaux à la fois
Les cimes d’arbres sans lumière
Grandissaient au bord du chemin
Et tout un horizon de chiens
Aboyait loin de la rivièreQuand nous avons franchi les ronces
Les épines et les ajoncs
Sous elle son chignon s’enfonce
Et fait un trou dans le limon
Quand ma cravate fût ôtée
Elle retira son jupon
Puis quand j’ôtai mon ceinturon
Quatre corsages d’affilée
Ni le nard ni les escargots
N’eurent jamais la peau si fine
Ni sous la lune les cristaux
N’ont de lueur plus cristalline
Ses cuisses s’enfuyaient sous moi
Comme des truites effrayées
L’une moitié toute embrasée
L’autre moitié pleine de froid
Cette nuit me vit galoper
De ma plus belle chevauchée
Sur une pouliche nacrée
Sans bride et sans étriersJe suis homme et ne peux redire
Les choses qu’elle me disait
Le clair entendement m’inspire
De me montrer fort circonspect
Sale de baisers et de sable
Du bord de l’eau je la sortis
Les iris balançaient leur sabre
Contre les brises de la nuit
Pour agir en pleine droiture
Comme fait un loyal gitan
Je lui fis don en la quittant
D’un beau grand panier à couture
Mais sans vouloir en être épris
Parce qu’elle était adultère
Et se prétendait sans mari
Quand nous allions vers la rivièreFederico Garcia Lorca, extrait de “El Romancero Gitano”
Traduction Jean PrévostLe Godemichet de la Gloire
Un vit sur la place Vendôme,
Gamahuché par l’aquilon,
Décalotte son large dôme
Ayant pour gland Napoléon.
Veuve de son foufeur, la Gloire,
La nuit dans son con souverain,
Enfonce — tirage illusoire ! —
Ce grand godemichet d’airain…Théophile Gautier
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Par lequebecois1962 le 25 Juillet 2013 à 14:23
La beauté de la femme est un rayon de soleil dans l'obscurité du quotidien.
Merci à ero80 pour cette magnifique chanson.
On ira
par
Zaz
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Par lequebecois1962 le 24 Juillet 2013 à 19:11
Pourquoi un tel blogue?
Bonjour!
Je viens de lire un commentaire en réponse au mien à propos de mon blogue érotique sur une page Facebook. Il me semble important d'expliquer les raisons qui m'ont incité à rédiger un tel blogue lequel a reçu plus de 35 741 visiteurs et visiteuses.
Le principal objectif de mon blogue est de démystifier l'image angélique d'un homme vivant avec un handicap physique apparent. En effet, il y a malheureusement trois images négatives qui circulent au sein de notre société à l'égard de la sexualité des personnes handicapées. D'une part, soit que lesdites personnes n'ont ni désirs, ni de pulsions et, encore moins une vie sexuelle active. D'autre part, qu'elles sont obsédées par tout ce qui a trait à la sexualité tellement elles vivent de la frustration liée à leurs handicaps physiques. Et, enfin, elles doivent absolument trouver un(e) partenaire ayant un handicap physique pour vivre une relation amoureuse et/ou charnelle.
Chose étrange! J'ai fréquenté au cours de ma vie des femmes extraordinaires envers lesquelles j'éprouve un respect profond et une admiration sincère. Aucune d'entre elles, j'ai bien écrit «aucune,» est handicapée et, encore moins victime de la Thalidomide. Il me paraissait bon de le souligner afin de dissiper tous malentendus possibles.
J'adore la beauté féminine, la nudité vécue avec sincérité et la sexualité qui englobe l'entièreté de l'être humain ainsi que la passion de la... vie. Pourtant, j'ai été très blessé en 1984 à l'occasion d'un triste événement lié au dossier de la Thalidomide. Je ne suis ni un objet, ni un être asexué, mais un homme qui a du caractère et fier de sa masculinité et de sa ... virilité.
Par ailleurs, j'ai eu la chance inouïe de poser nu pour des artistes de renom et même pour un photographe érotique professionnel. Croyez-moi sur parole! Ils en ont eu bien au-delà de tout ce qu'ils(elles) espéraient.
En terminant cette note explicative, il est primordiale de retenir que je m'intéresse à plusieurs autres sujets que la sexualité. Le cinéma, la musique, les biographies, le monde artistique et bien d'autres sujets me passionnent au plus haut point.
Bref, je suis un homme bien avant d'être un handicapé.
Merci de m'avoir lu!
Rollyboy
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Par lequebecois1962 le 24 Juillet 2013 à 01:49
Avis!
Petit message!
La beauté des femmes est comme une balade des Beatles.
On ne se fatigue jamais de les savourer.
Surtout si elles ont un petit côté rebelle.
Obscène!
Et provocant!
And I Love Her!
by
The Beatles
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Par lequebecois1962 le 23 Juillet 2013 à 19:05
Histoire véridique!
Le club échangiste
Un des souvenirs érotiques qui me reviennent à quelques occasions en mémoire se rapportent à mes expériences vécues dans un des rares clubs échangistes au Québec. Un des clubs que je qualifierai de qualité, très bien entretenu par une jolie propriétaire que j'appellerai Hélène pour les circonstances. J'y suis allé à maintes reprises lorsque j'étais célibataire et, ma foi, je ne me languissais guère de cette vie particulièrement riche en surprises.
J'ai toujours adoré la beauté, le charme et l'énergie extraordinaire qui se dégagent du corps d'une femme nue. Pourquoi en aurais-je pas le droit? Parce que je suis handicapé? Et bien, non. J'ai toujours accepté ma différence physique et assumé mon droit au plaisir, au bonheur, à la nudité et à la sexualité saine et équilibrée.
Un des défis que je me suis imposé a été de paticiper à une orgie. Une vraie orgie. Celle qui ferait honneur aux films de Marc Dorcel. Un défi qui pousserait ma limite et celle des autres à aller au-delà de ma situation physique tout en étant sélectif dans les partenaires féminins disponibles pour le réaliser. Quoi de mieux que de participer à une soirée dans l'un des clubs échangistes les plus réputés au Québec et peut-être même au Canada?
Il est à noter que ce n'était pas la première fois que j'y allait. Cependant, une telle expérience a eu lieu la veille de la fête nationale des Québécois. Une soirée inoubliable, magnifique et ... chaude. Un petit bonjour, au cas où la charmante Hélène lirait mon article, à cette charmante dame qui m'avait accueilli dans l'un des plus bel endroit de Québec réservé au 18 ans et plus.
Le club échangiste: Un bonheur à l'état pur!
Par une belle soirée de juin, plus précisément à la veille de la fête nationale du Québec (24 juin), j'ai décidé de passer du bon temps en agréable compagnie féminine. Je me suis donc dirigé vers mon club échangiste de prédilection entretenu par une dame formidable. Après avoir payé mon droit d'entrée, je pris possession de ma chambrette située au premier étage où se trouvèrent également un sauna, un bar de boissons non alcoolisées et un bain tourbillon ainsi quelques autres chambrettes.
Hélène et son assistante de l'époque me connaissaient assez bien puisque j'étais presque un habitué de ces lieux. Elles profitèrent du fait qu'il n'y avait pas encore beaucoup de clients-es pour venir préparer le couvre-lit du matelas. De mon côté, j'étais déjà en tenu d'Adam. Et comme toujours fier de ma nudité.
Une fois le tout complété, je me suis dirigé vers le bar sans alcool où une grande dame blonde aux yeux bleus s'y trouvait déjà. Les présentations d'usage faites, nous engâmes la conversation. Elle m'a alors dit que sa chambrette se trouvait au second étage et ce, avec un certain sourire. Était-ce une invitation? Une simple salutation? Quoi d'autres? J'ai décidé de jouer le tout pour le tout.
Arrivé au second étage, j'ai vite trouvé la chambrette où logeait la plantureuse Linda. Une femme d'une beauté peu commune et qui, j'en suis convaincu, pourrait faire la «une »de la revue Playboy. Je la
voyais nue, couchée sur le matelas et qui semblait attendre quelque chose ou quelqu'un. «Puis-je vous tenir compagnie?» lui ai-je demandé. «Mais, bien sûr mon ami» me répondit-elle en m'invitant de m'assoir à ses côtés. Elle s'aperçut très vite que son corps me plaisait. Et quel corps! Une silhouette de rêves, des seins rebondis et fermes et des fesses à faire pâlir d'envie les plupart des Québécoises. J'enlevas la serviette qui recouvra mon sexe. Après tout, nous étions entre adultes. N'est-ce pas?!
Linda qui voyait bien mon aisance se coucha sur le dos face à moi et écarta ses cuisses exhibant par le fait même un sexe féminin auquel j'allais procurer des sensations qu'aucun homme avant moi ne lui avaient fait connaître. J'allais devenir son maître de cérémonie.
Je fonçais tête baissé vers cette zone réservée au plus grand maître du plaisir et de la sensualité. Caressant son clitoris qui grossissait à vue d'oeil, embrassant ses lèvres interdites au grand public, aspirant à répétition cette vulve avec douceur et précision, je me sentais tel un artiste réalisant une oeuvre unique en son genre. Sa respiration alla en augmentant.
Voulant prendre un temps d'arrêt, bien entendu pour faire durer le plaisir de madame, je me dirigea alors vers son visage en embrassant ce ventre à la peau douce, en mordant avec précaution les mâmelons qui s'offraient à moi comme des fruits mûrs et, le point culminant de cette ascension, câjolant ce tendre visage. Mes baisers sur son cou lui firent une agréable impression. «Tu es le premier homme handicapé avec qui je baise et, tu peux être certain, tu m'impressionnes mon ami». Me confia-t-elle. Elle n'alla pas tarder à découvrir bien d'autres surprises.
Sans attendre, mais toujours avec délicatesse, je porta le bout de mon
moignon le plus long sur son clitoris pour le palper, le faire tourner, le châtouiller et le titiller. Il n'en fallait pas plus pour qu'elle gémit dans mon oreille. Ses gémissements me supplièrent de continuer encore et encore. Ses désirs étaient pour moi des ordres auxquels je prenais grand soin d'obéir. J'ai opté pour oser faire ce qu'un aucun homme avant moi avait fait: la pénétrer avec ce ... moignon.
Débutant par une préparation adéquate, son tunnel d'amour fut lubrifié comme il se doit, la pénétration se fit donc aisément. Doucement, tout doucement, il poursuivit son chemin vers ce lieu privilégié. Linda avait un de ces sourires que j'avais jusque-là rarement vu dans ma vie. Celui d'une femme comblée, satisfaite et ... heureuse.
N'en pouvant plus, elle me supplia de la prendre en position de la leverette. Pouvais-je lui refuser une telle requête? Nous avons adopté de prendre ladite position. Ce qui me permit de pouvoir admirer les fesses bien rondes de mon hôte qui cria de plus en plus fort sa jouissance. J'étais son homme du moment.
Je sentis alors ma semence chaude gicler dans le préservatif que Linda m'avait grâcieusement posé sur mon phallus. Et, comme d'un commun accord, nous exprimions notre orgasme au même instant. Un orgasme qui m'avait fait oublier la présence de nouvelles personnes dans cette chambrette. «Plus on est nombreux, plus on a du plaisir.» N'est-ce pas?!
Après m'avoir enlevé mon préservatif, cette charmante dame et moi-même avons pris la direction de la douche commune pour purifier nos corps plus que comblés.
Sacrée Linda, je t'en ai fait voir de toutes les couleurs.
Rollyboy
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Par lequebecois1962 le 23 Juillet 2013 à 02:47
Hello!
Voici mon style!
J'aime ce style. C'est mon droit. N'est-ce pas?! ;-)
La terre cessera de tourner mais la beauté féminine sera toujours là.
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Par lequebecois1962 le 22 Juillet 2013 à 01:38
Sally :
La rockeuse anglaise aux doigts de fée
Prélude
Un des avantages qui rendent la vie en résidences universitaires si captivante consiste en la multitude d'opportunités qui s’offrent à ceux et à celles qui n’ont pas froid aux yeux pour obtenir des aventures érotiques réservées aux plus audacieux(ses). En ce qui me concerne, les étudiantes que j'ai eu la chance de croiser à cette période de ma vie ont été dans la majorité des cas d'une bonté et d'une générosité inimaginables envers votre humble serviteur. C'est aussi, fait important à noter, durant cette période que je fus très célèbre dans la plupart des médias de masse, et ce, pour une raison qu'il est assez difficile d'expliquer sur mon blogue.
Ici, avoir été populaire grâce aux médias de masse m'avait conféré certains privilèges de la part des étudiantes avec qui je vivais au sein de la résidence principale du campus universitaire, c’est-à-dire le pavillon Parent, de l’université Laval de Québec.
Que de souvenirs inoubliables! Que de visages féminins magnifiques! Tous ces corps de femmes d'une sublimité ineffable! Je pense souvent à ces dames qui m'ont donné des moments de bonheur indescriptible. La vie est faite de ces moments qui s'incrustent dans nos mémoires et qui viennent agrémenter notre présent.
Soyez rassurés! Je suis seulement en période de repos nécessaire à la bonne marche de ma vie. "Il est un temps pour chaque chose et chaque chose en son temps." affirme un célèbre dicton!
Voici donc amis et amies mon aventure avec la sensuelle Sally.
Sally
La rockeuse anglaise aux doigts de fée
Sally et moi avions passé notre soirée à étudier ensemble nos matières respectives. De son côté, elle suivait des cours de français pour non-francophones. Et moi? Je vous laisse deviner quel était mon champs d’étude. Je suis persuadé que vous êtes incapables de trouver de quoi il s’agit.
Bien sûr que je mettais offert pour l'aider à comprendre la subtilité de la langue de Molière, mais je ne m'attendais pas à ce qu'elle me fasse découvrir la richesse de sa langue et ce, avec un doigté propre aux mains de fée. Une fée qui réalisa mes vœux les plus intimes, les plus coupables et les plus gratifiants. Une fée venue d’Outre-Atlantique. God save the Queen!
Au milieu d’une longue soirée d’études en compagnie de son «professeur-titulaire provisoire», Sally avait décidé de prendre quelques instants de repos bien mérité afin de reprendre des forces. Me paraissant être une bonne idée, j’ai donc accepté sa suggestion. Elle me demanda si elle pouvait faire jouer un peu de musique. "Bien évidemment" lui dis-je.
Elle alla faire jouer une cassette de notre groupe rock préféré de l'époque: «Joan Jett & The Blackhearts» dont la chanteuse ressemblait à s’y méprendre à Sally. Coïncidence? C'est possible. Hasard? Très probable! Coup heureux du destin? Je ne m’en plains pas. Son allure de rockeuse me titillait sans cesse l’esprit, sa démarche à la fois décisive et légère démontrait qu’elle savait ce qu’elle voulait et ce qu’elle voulait par-dessus tout ce soir-là, c’était moi et moi seul.
Une fois être assurée que la musique commença à jouer de son rythme
endiablé, Sally s'avança vers moi en me faisant signe de ne pas dire un mot. Puis, tout en me faisant un clin d'œil, elle entreprit de baisser mon pantalon pour me faire une petite faveur que je n'oublierai pas de sitôt.
Elle s'exclama: «Oh my God! That’s great. Your sex is circumcised.»
Elle regarda ce sexe, tel un bijou de grandes valeurs, tout en passant ses doigts. Telle une experte en la matière, elle passa d’abord son index sur mon membre afin de, me semblait-t-il, sentir sa peau soyeuse et satinée. Les autres doigts suivirent dans leurs quêtes des points de jouissance de ce phallus docile et soumis tel un esclave devant sa maitresse à la fois crainte et adorée. Puis sans attendre un instant de plus, elle me fit connaître une autre facette de ces mains expertes qu'elle savait manier avec brio. Elle laissa glisser ses doigts, sans avoir omis de les humectés comme il se doit, tout le long de ma hampe avec une animation peu commune. Tantôt elle utilisa trois doigts, tantôt elle utilisa toute sa main tandis que de l’autre elle serra mes testicules avec passion, douceur et, parfois, avec une fermeté me rappelant ainsi qui était la maitresse de ces lieux. Une maitresse comme je les aime : désinvolte, rebelle mais aussi sensible au bien-être de son esclave.
Soudain, le téléphone sonna, sonna et sonna encore. N'en pouvant plus et voyant qu'il était à ma portée, j'ai décidé de décrocher le combiné tandis que la belle Sally continuait à me faire découvrir les milles et un plaisirs … à la british.
Une fois le combiné du téléphone décroché, la voix de ma mère se fit entendre: "Allo Rolland! Comment vas-tu? Je voulais te donner des nouvelles importantes." Pendant ce temps, Sally continua à m’étonner par son savoir-faire extraordinaire. Elle passa sa langue sur mon sexe qui avait pris de la magnificence en partant de sa base testiculaire jusqu’à l’extrémité du gland. Aucune des veines bleutées de mon pénis n’échappa à sa langue chasseresse. De sa bouche, elle embrassa, mordilla et aspira mes bourses favorisées par tant de largesse.
D’un geste calme et posé, elle s’avança vers mon visage tout en poursuivant de lécher ce qui s’offrait à cette langue plus que sublime. Une fois arrivée devant mon visage, elle entreprit de m’embrasser chaque parcelle de celui-ci tout en collant son corps sur le mien. Des baisers comme je n’avais jamais connus jusque-là.
Et moi, ne pouvant mentir à ma tendre mère, je lui ai expliquée très poliment que j'étais en train d'approfondir un sujet d'études vraiment hors du commun et, si possible, de me rappeler plus tard. Ce à quoi elle me dit qu'elle appellera le lendemain.
Sally me serra dans ses bras encore plus fort en me chuchotant à l'oreille avec son accent british: "Rolland! You should be shy. You are a very bad boy.
But I love it." Ses longs baisers sur ma bouche furent absolument divins. Soudain, sans aucun signe d’avertissement, elle glissa vers mon bas-ventre et dirigea sa bouche voluptueuse avec une chaleur d'enfer vers mon phallus duquel ma semence alla bientôt être extraite indubitablement.
J'étais au septième ciel. Elle enroula de nouveau mon phallus avec sa bouche d’or et, avec une délectation encore jamais vue de mon vivant, elle aspira cette semence pour n'en laisser échapper aucune goutte. Sa bouche en était remplie. J'ai alors senti qu'elle avala le tout en prenant grand soin de caresser mes bourses avec une attention particulière qui me satisfaisait grandement.
Après nous être remis de nos émotions, nous avons poursuivi nos études respectives jusque tard dans la nuit. Une nuit d’études comme je les aime c’est-à-dire remplies de belles surprises.
Conclusion
Je n'ai jamais regretté mes années universitaires. En effet, elles sont parmi mes plus beaux souvenirs. D’ailleurs, la vie est trop courte pour s'en faire. L'essentiel est ici d'en saisir tous les petits plaisirs et de savoir les apprécier comme il se doit.
À suivre!
Rollyboy
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