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Par lequebecois1962 le 5 Mai 2011 à 13:10
Cette chanson tout simplement fantastique.
Let's talk about me
David Paton - Lead Vocal
Let's talk about me for a minute
Well how do you think
I feel about what's been going on
Let's talk about me for a minute
Well how do you think
I feel about what's gone wrong
Let's talk about dreams
I never learned to read the signs
Let's think about what it all means
I never seem to have the time
Let's talk about you and your problems
All that I seem to do is spend the night
Just talking 'bout you and your problems
No matter what I say I can't get it right
Don't think about dreams
Is it all a waste of time
Don't think about what it all means
If you are a friend of mine
Talk about me, for a minute
I'm the one who's losing
Talk about me, for a minute
I'm the one who's always losing out
And how do you think
I feel about what's been going on
Let's talk about me for a minute
Well how do you think
I feel about what's gone wrong
Let's think about dreams
We never seem to have the time
Let's talk about what it all means
If you are a friend of mine
Let's talk about me
I'm the one who's losing out
I'm the one who's losing out
I'm the one who's losing out, losing out
Talk about me, for a minute
I'm the one who's losing
Talk about me, for a minute
I'm the one who's always losing outaucun commentaire
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Par lequebecois1962 le 5 Mai 2011 à 13:00
C'est bien vrai.
Days are numbers
The traveller is always leaving town
He never has the time to turn around
And if the road he's taken isn't leading anywhere
He seems to be completely unaware
The traveller is always leaving home
The only kind of life he's ever known
When every moment seems to be
A race against the time
There's always one more mountain left to climb
Days are numbers
Watch the stars
We can only see so far
Someday, you'll know where you are
Remember
Days are numbers
Count the stars
We can only go so far
One day, you'll know where you are
The traveller awaits the morning tide
He doesn't know what's on the other side
But something deep inside of him
Keeps telling him to go
He hasn't found a reason to say no
The traveller is only passing through
He cannot understand your point of view
Abandoning reality, unsure of what he'll find
The traveller in me is close behind
Days are numbers
Watch the stars
We can only see so far
Someday, you'll know where you are
Remember
Days are numbers
Count the stars
We can only go so far
One day, you'll know where you areaucun commentaire
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Par lequebecois1962 le 5 Mai 2011 à 07:38
Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse
Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse,
Pour ce bel oeil, qui me prit à son hain,
Pour ce doux ris, pour ce baiser tout plein
D'ambre et de musc, baiser d'une Déesse.
Je veux mourir pour cette blonde tresse,
Pour l'embonpoint de ce trop chaste sein,
Pour la rigueur de cette douce main,
Qui tout d'un coup me guérit et me blesse.
Je veux mourir pour le brun de ce teint,
Pour cette voix, dont le beau chant m'étreint
Si fort le coeur que seul il en dispose.
Je veux mourir ès amoureux combats,
Soûlant l'amour, qu'au sang je porte enclose,
Toute une nuit au milieu de tes, bras.par Pierre de Ronsart
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Par lequebecois1962 le 5 Mai 2011 à 07:25
Dernière soirée passée avec ma maîtresse
Il fallait la quitter, et pour ne plus me voir
Elle partait, mon Dieu, c'était le dernier soir.
Elle me laissait seul ; cette femme cruelle
Emportait mon amour et ma vie avec elle.
Moi je voulus encore errer comme autrefois
Dans les champs et l'aimer une dernière fois.
La nuit nous apportait et l'ombre et le silence,
Et pourtant j'entendais comme une voix immense,
Tout semblait animé par un souffle divin.
La nature tremblait, j'écoutais et soudain
Un étrange frisson troubla toute mon âme.
Haletant, un moment j'oubliai cette femme
Que j'aimais plus que moi. Le vent nous apportait
Mille sons doux et clairs que l'écho répétait.
Ce n'était plus de l'air le calme et frais murmure,
Mais c'était comme un souffle étreignant la nature,
Un souffle, un souffle immense, errant, animant tout,
Qui planait et passait, me rendant presque fou,
Un son mystérieux et qui, sur son passage,
Réveillait et frappait les échos du bocage.
Tout vivait, tout tremblait, tout parlait dans les bois,
Comme si, pour fêter le plus puissant des rois,
Et l'insecte et l'oiseau et l'arbre et le feuillage
Parlaient, quand tout dormait, un sublime langage.
Je restai frémissant : ce bruit mystérieux,
C'était Dieu descendu des cieux.
C'était ce Dieu puissant si grand et solitaire
Qui venait oublier sa grandeur sur la terre.
Dieu las et fatigué de sa divinité,
Las d'honneur, de puissance et d'immortalité,
Des éternels ennuis où sa grandeur l'enchaîne,
Qui venait partager notre nature humaine.
Il avait choisi l'heure où tout dort et se tait,
Où l'homme, indifférent à tout ce que Dieu fait,
Attaché seulement à ses soins mercenaires,
Prend un peu de repos qu'il dérobe aux affaires.
Car c'était aussi l'heure où ce Dieu généreux
Peut bénir et donner la main aux malheureux,
L'heure où celui qui souffre et gémit en silence,
Qui craint pour son malheur la froide indifférence,
Délivré du fardeau de l'égoïsme humain,
Sans craindre la pitié peut planer libre enfin.
Dieu vient le consoler, il soutient sa misère,
Il rend ses pleurs plus doux, sa douleur moins amère,
Il verse sur sa plaie un baume bienfaisant.
D'autres craignent encore un oeil indifférent,
Et les regards de l'homme et les bruits de la terre.
Ils cherchent aussi l'heure où tout est solitaire,
Dieu les voit, il bénit le bonheur des amants.
Invisible témoin, il entend leurs serments.
Il aime cet amour qu'il ne goûtera pas
Et dans les bois, la nuit, il protège leurs pas.
Il était là, son souffle errait sur la nature,
Paraissait éveiller comme un vaste murmure,
Tout ce qu'il a formé s'animait et, tremblant,
S'agitait au contact de ce Dieu tout-puissant,
Et tout parlait de lui, le vent sous le feuillage,
Et l'arbuste, et le flot caressait le rivage,
Et tous ces bruits divers ne formaient qu'une voix :
C'était Dieu qui parlait au milieu des grands bois.
Tous deux nous l'écoutions et nous versions des larmes ;
Quand on va se quitter, l'amour a tant de charmes !
Et nos pleurs, qui tombaient comme des diamants,
Goutte à goutte brillaient sur les herbes des champs.
Mais de cette belle soirée
Et de ma maîtresse adorée
Que restait-il le lendemain ?
Seul le pâtre de grand matin,
En conduisant au pâturage
Son gras troupeau, vit sur l'herbage
Les quelques gouttes de nos pleurs,
Seule marque de nos douleurs ;
Mais il les prit pour la rosée.
"L'herbe n'est point encor séchée",
Se dit-il en pressant le pas.
Hélas ! il ne soupçonna pas
Que de chagrins et de misères
Cachait cette eau sur les bruyères.
Et ses brebis qui le suivaient
Broutaient les herbes et buvaient
Nos pleurs sans arrêter leur course,
Mais rien n'en a trahi la source.
par Guy de Maupassant (1868)http://data0.hotviber.fr/lequebecois1962/mod_article2773_3.jpg
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Par lequebecois1962 le 5 Mai 2011 à 07:17
Aimons toujours ! Aimons encore !
Aimons toujours ! Aimons encore !
Quand l'amour s'en va, l'espoir fuit.
L'amour, c'est le cri de l'aurore,
L'amour c'est l'hymne de la nuit.
Ce que le flot dit aux rivages,
Ce que le vent dit aux vieux monts,
Ce que l'astre dit aux nuages,
C'est le mot ineffable : Aimons !
L'amour fait songer, vivre et croire.
Il a pour réchauffer le coeur,
Un rayon de plus que la gloire,
Et ce rayon c'est le bonheur !
Aime ! qu'on les loue ou les blâme,
Toujours les grand coeurs aimeront :
Joins cette jeunesse de l'âme
A la jeunesse de ton front !
Aime, afin de charmer tes heures !
Afin qu'on voie en tes beaux yeux
Des voluptés intérieures
Le sourire mystérieux !
Aimons-nous toujours davantage !
Unissons-nous mieux chaque jour.
Les arbres croissent en feuillage ;
Que notre âme croisse en amour !
Soyons le miroir et l'image !
Soyons la fleur et le parfum !
Les amants, qui, seuls sous l'ombrage,
Se sentent deux et ne sont qu'un !
Les poètes cherchent les belles.
La femme, ange aux chastes faveurs,
Aime à rafraîchir sous ses ailes
Ces grand fronts brûlants et réveurs.
Venez à nous, beautés touchantes !
Viens à moi, toi, mon bien, ma loi !
Ange ! viens à moi quand tu chantes,
Et, quand tu pleures, viens à moi !
Nous seuls comprenons vos extases.
Car notre esprit n'est point moqueur ;
Car les poètes sont les vases
Où les femmes versent leur coeurs.
Moi qui ne cherche dans ce monde
Que la seule réalité,
Moi qui laisse fuir comme l'onde
Tout ce qui n'est que vanité,
Je préfère aux biens dont s'enivre
L'orgueil du soldat ou du roi,
L'ombre que tu fais sur mon livre
Quand ton front se penche sur moi.
Toute ambition allumée
Dans notre esprit, brasier subtil,
Tombe en cendre ou vole en fumée,
Et l'on se dit : " Qu'en reste-t-il ? "
Tout plaisir, fleur à peine éclose
Dans notre avril sombre et terni,
S'effeuille et meurt, lis, myrte ou rose,
Et l'on se dit : " C'est donc fini ! "
L'amour seul reste. O noble femme
Si tu veux dans ce vil séjour,
Garder ta foi, garder ton âme,
Garder ton Dieu, garde l'amour !
Conserve en ton coeur, sans rien craindre,
Dusses-tu pleurer et souffrir,
La flamme qui ne peut s'éteindre
Et la fleur qui ne peut mourir !
par Victor Hugo Mai 18...aucun commentaire
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Par lequebecois1962 le 5 Mai 2011 à 07:12
A une fleur !
Que me veux-tu chère fleurette,
Aimable et charmant souvenir?
Demi-morte et demi-coquette,
Jusqu'à moi qui te fait venir ?
Sous ce cachet enveloppée,
Tu viens de faire un long chemin.
Qu'as-tu vu? que t'a dit la main
Qui sur le buisson t'a coupée?
N'es-tu qu'une herbe desséchée
Qui vient achever de mourir ?
Ou ton sein, prêt à refleurir,
Renferme-t-il une pensée ?
Ta fleur, hélas! a la blancheur
De la désolante innocence;
Mais de la craintive espérance
Ta feuille porte la couleur.
As-tu pour moi quelque message ?
Tu peux parler, je suis discret.
Ta verdure est-elle un secret?
Ton parfum est-il un langage ?
S'il en est ainsi, parle bas,
Mystérieuse messagère;
S'il n'en est rien, ne réponds pas;
Dors sur mon coeur, fraîche et légère.
Je connais trop bien cette main,
Pleine de grâce et de caprice,
Qui d'un brin de fil souple et fin
A noué ton pâle calice.
Cette main-là, petite fleur,
Ni Phidias ni Praxitèle
N'en auraient pu trouver la soeur
Qu'en prenant Vénus pour modèle.
Mais elle est sage, elle est sévère;
Quelque mal pourrait m'arriver.
Fleurette, craignons sa colère.
Ne dis rien, laisse-moi rêver.
Alfred de Musset (1838)aucun commentaire
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Par lequebecois1962 le 4 Mai 2011 à 04:55
On va s'aimer encore...
L'amour différent !
Une passion féminine !
Tendrement vôtre !
Regards sur l'autre !
L'homosexualité n'est pas un crime.
L'hétérosexualité non plus. ^^
L'amour est pour tout le monde,
y compris pour les personnes handicapées.
On va s'aimer encore...
Quand on verra dans le miroir nos faces ridées pleines d'histoires
Quand on en aura moins devant qu'on en a maintenant
Quand on aura enfin du temps et qu'on vivra tranquillement
Quand la maison sera payée et qui restera plus rien qu'a s'aimer
On va s'aimer encore, au travers des doutes, des travers de la route et de plus en plus fort
On va s'aimer encore, au travers des bons coups, au travers des déboires, à la vie, à la mort on va s'aimer encore
Quand nos enfants vont partir, qu'on les aura vu grandir
Quand ce sera leurs tour de choisir, leurs tour de bâtir
Quand nos têtes seront blanches, qu'on aura de l'expérience
Quand plus personnes va nous attendre, qui restera plus rien qu'a s'éprendre
On va s'aimer encore, au travers des doutes, des travers de la route et de plus en plus fort On va s'aimer encore, au travers des bons coups, au travers des déboires, à la vie, à la mort on va s'aimerQuand les temps auront changés, qu'on sera complètement démodés
Quand toutes les bombes auront sauté, que la paix sera la pour rester
Quand sans boussole sans plan, on partira au gré du vent
Quand on levera les voiles devenues de la poussières d'étoiles
On va s'aimer encore, après nos bons coups, après nos déboires et de plus en plus fort On va s'aimer encore au bout de nos doutes au bout de la route au delà de la mort On va s'aimer encore, au bout du doute, au bout de la route au delà de la mort On va s'aimer ...Chanson de
Vincent Vallières
L'érotisme, le vrai, est celui qui réussit a élever l'âme humaine.
Auteur de ce blog
Rollyboy
aucun commentaire
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Par lequebecois1962 le 3 Mai 2011 à 03:23
Regardez ce blog réalisé avec soin.
J'adore cette chanson de Garou.
Magnifique !
Il fait chaud. ^^
Adorable !
Quel regard !
Beautés gitanes
1 commentaire
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Par lequebecois1962 le 2 Mai 2011 à 02:16
Ici, le vote est secret. ^^
Élections au Canada en ce 2 mai 2011
Pour qui allez-vous voter ?
aucun commentaire
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Par lequebecois1962 le 1 Mai 2011 à 14:57
Bon semaine !
Belle réalisation !
Impressionnant !
J'adore ....
Patience !
Turbulence !
Sérénité
Tempérance !
Amour !
Espoir !
C'est dans le mouvement que l'espoir apparaît.
Qu'elle soit habillée....
Ou bien qu'elle soit nue.
Une femme est toujours belle.
Merci !
Pour votre visite
http://www.akart.jepose.com/
aucun commentaire
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