• Entre copines!

    Entre copines

    Il y a un dicton au Québec qui affirme que ...

    Entre copines

    "Un c'est bien, mais deux, c'est encore mieux."

    Entre copines

    La beauté féminine dans le lesbianisme est à son apogée.

    Entre copines

    Entre copines? C'est entre complices.

    Entre copines

    Un peu de tendresse féminine.

    Entre copines

    Sensualité!

    Entre copines

    Non, mais! Que faites-vous là?! lol

    Women in love

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    Van Halen

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  • La beauté de la femme est une grâce de la nature.

    La beauté de la femme est une grâce de la nature.

    Comment pourrais-je vivre sans celle-ci?

    La beauté de la femme est une grâce de la nature.

    La beauté est éphémère.

    La beauté de la femme est une grâce de la nature.

    Voilà pourquoi, il faut savoir en profiter.

    La beauté de la femme est une grâce de la nature.

    Savoir l'admirer..

    La beauté de la femme est une grâce de la nature.

    Savoir la respecter.

    La beauté de la femme est une grâce de la nature.

    Une femme n'est pas un objet.

    La beauté de la femme est une grâce de la nature.

    C'est une pure merveille de la nature.

    La beauté de la femme est une grâce de la nature.

    Qui oserait me contredire?

     

    The Postman

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    The Beatles

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  •  Bonjour Rollyboy

    Une clinique un peu spéciale

     

     

    Une clinique un peu spéciale

    Bonjour!

    Vous ne le saviez peut-être pas, mais je suis de nature assez robuste malgré ma situation physique peu commune. En effet, il est plutôt rare pour moi de consulter un(e) médecin pour des problèmes liés à ma santé. De tels problèmes sont presque inexistants vu mon entretien assidu et méticuleux de mon corps. À vrai dire, le fait que je ne fume pas, ne bois aucune boisson alcoolisée, ni ne consomme de substances illicites pouvant être néfastes à mon bien-être tant physique que psychologique et, bien entendu, spirituel me facilite les choses. Ne dit-on pas « un esprit sain dans un corps sain»?

     

     Une clinique un peu spéciale 

    Toutefois, j'ai dû consulter au cours des derniers jours une clinique assez spéciale afin de régler un problème de santé aussi inattendu que désagréable. Mon problème était d’une simplicité déconcertante : je n'arrivais tout simplement à ne plus pouvoir jouir. Oui, vous avez bien lu. J'avais  beau à me masturber, à enduire mon membre de lubrifiant et à utiliser tous les vibrateurs pour hommes disponibles sur le marché, rien ne sortait. Et quand je dis rien, aucune goute de mon précieux liquide ne se pointait à l'orifice de mon gland lors de mes tentatives. Quelles en étaient les causes possibles ? Était-ce le stress, la chaleur excessive de l'été à laquelle nous Québécois ne sommes guère habitués ou bien par d'autres facteurs qui m'étaient inconnus? Que pouvais-je faire pour remédier à cette catastrophe ?

    La solution était de consulter des spécialistes dans le domaine médical lié à la sexualité et à tous les désordres physiologiques sexuel. Dieu merci ! Il existe fort heureusement une clinique de réputation mondiale ici même à Québec qui œuvre dans ce domaine médical et qui, semble-t-il, offre un service de qualité dont les résultats sont tout à fait spectaculaires. Ladite clinique est d’ailleurs située à quelques pas de chez-moi. Oui, je suis veinard et je le sais.


    Quelques appels pour fixer mon rendez-vous et pour me renseigner sur les modalités de paiements ont suffi à me convaincre du bien-fondé de la clinique.

    Une clinique un peu spéciale


    J'arrive donc à l'heure indiquée tel que convenu pour ma rencontre médicale. Après les formalités d'usage et quelques papiers à signer, une charmante dame m'invita aller me dévêtir dans un vestiaire prévu à cet effet pour, ensuite, me diriger vers la salle d'attente où une douce musique jouait de manière à peine perceptible. La quiétude qui régnait en ces lieux m'a grandement réconforté d'autant plus que la beauté des meubles et le doux parfum que procurait un encens se consumant au gré du temps favorisa en moi une détente plus que bienfaisante. Voyant une pile de revues que je qualifierais «pour hommes», j’en ai choisi une au hasard afin de me mettre davantage dans l’ambiance.

     

    Puis, sans m'y attendre, j'entendis une voix féminine me demander;  "Qu'aimeriez-vous boire en attendant votre infirmière particulière?". Je me retournai et aperçu une femme dont les traits harmonieux de son visage, son physique et sa chevelure soyeuse trahissaient des origines slaves. Je lui ai répondu qu'un bon «coca» serait apprécié. Aussitôt dit, aussitôt fait! Elle m'apporta un verre de «coca», mais elle a voulu me le faire boire elle-même en me disant dans le creux de l’oreille, un peu comme une confession; "Allez, mon beau Rollyboy! Laissez-vous gâter." C'est alors qu'elle m'avoua avoir lu à quelques reprises mon blogue érotique et qu'elle souhaiterait y voir publier un article positif sur les traitements que l'on va m'offrir. C’est ainsi qu’elle et moi avions discuté de ma problématique pendant qu'elle vérifia à tâtons l'état physiologique de mon phallus tout en lui jetant un coup d’œil minutieux. Sa main chaude palpa la peau satinée de mon membre puis elle effleura avec une délicatesse extrême mes testicules remplies de leur semence prisonnière laquelle ne demanda qu’à sortir de leurs geôles.

    La complaisance à la fois réconfortante et avenante  de ma bienfaitrice en disait long sur le programme à venir. «Rassure-toi mon ami, tu as une belle érection. Je suis convaincue que notre belle Rébecca saura trouver le traitement approprié pour te guérir. Je dirais même, et sans vouloir te flatter dans le sens du poil, que tu es bien membré.» me confia-t-elle. En effet, mon fidèle ami se tenait bien droit afin de la saluer avec les étiquettes appropriées en pareilles situations.

     

    Une clinique un peu spéciale

     

    Et, croyez-moi, il ne sera pas déçu par la qualité des services offerts par les membres du personnel féminin de cet établissement. D’ailleurs, la beauté, le charme et la volupté des membres qui composent le corps médical de cette clinique est unique en son genre et seuls quelques privilégiés de la société québécoise peuvent profiter des services qui y sont prodigués. Rien n’est de trop beau pour Rollyboy!

     

    C'est après quelques minutes d'attentes, toujours en compagnie de ma charmante

     Une clinique un peu spéciale 

    slave, qu'une magnifique dame aux allures angéliques entra dans la salle d’attente pour faire les présentations d’usage. «Bonjour Rollyboy ! Mon nom est Rebecca et je suis ton infirmière attitrée. Fais-moi confiance et tu ne seras pas déçu. C’est promis.»  Avec un sourire divin, elle m'invita à franchir le pas de la porte menant vers le Paradis aux mille plaisirs et à la suivre vers son cabinet médical. Comment pouvais-je résister à une telle invitation de la part d'une femme jeune, jolie et possédant un corps de déesse? De plus, concédons-le, ma santé sexuelle dépendait de son savoir-faire en la matière.  


    Nous allâmes vers son cabinet que je qualifierais volontiers de magique. "Soyez rassuré mon cher Rollyboy, je vais faire tout mon possible pour vous aider à régler votre problème." me dit-elle avec une grande assurance.  Après avoir longé un long corridor, nous entrâmes donc dans son cabinet lequel était aménagé avec un esthétisme fort admirable. Des meubles antiques ressemblant à ceux de l’époque gallo-romaine ornèrent l’endroit avec un agencement tout à fait étonnant.  Rebecca jeta son peignoir aux pieds d’un lit orné de gravures romaines et m'invita à prendre place à ses côtés.

    Je lui ai obéi sans aucune hésitation. J’ai donc enlevé à mon tour mon peignoir et l’accompagna pour la suite du traitement. Mon Dieu! Quel corps parfait! Quel visage extraordinaire! Quelle beauté! Tout était que perfection chez Rebecca : Une chevelure dorée comme les champs de blé, des yeux d’un bleu si pur qu’aucun ange dans les Cieux ne peut en posséder de semblables, un nez qui rendrait jalouse Cléopâtre et des lèvres rouges et pulpeuses à souhait. Que puis-je dire de ses seins, de ses fesses et de l’ensemble de sa silhouette ? Le summum de la beauté féminine.

    Elle se pencha vers moi et commença à me lécher délicatement mon corps. Tout y passa : de mes lobes d’oreilles au contour de mon visage et jusqu’à mes parties intimes. Une fois arrivée à celles-ci, elle les embrassa langoureusement tout en leur donnant des petits coups de langue par-ci,  par-là, sur le long de ma verge et mes testicules. Elle m’écarta avec douceur mes membres inférieurs afin de pouvoir poursuivre à sa guise son traitement. C’est ainsi qu’elle aspira mes bourses avec un appétit fort impressionnant. Je pouvais sentir sa bouche chaude englober chacune de mes testicules.

    Tantôt, ce fut celle de gauche. Tantôt, ce fut celle de droite. Tantôt, ce furent les deux qui goûtèrent à sa médecine. Elle continua en explorant le parcours de mon anus. Voyant mon air étonné par un tel agissement, elle me dit avec des yeux remplis de tendresse: « Fais-moi confiance mon Rollyboy. C’est tout ce que je te demande.» Mon sourire approbateur lui dit de poursuivre la cure. Après tout, c’est elle la spécialiste tandis que je suis le patient.

    Sa langue toute humide caressa mon anus en y cherchant les zones sensibles avec une précision remarquable. Voyant mon membre être en pleine gloire et s’offrir à son regard tel un banquet à une convive, elle y dirigea sa bouche afin de lui prodiguer une attention particulière. Avec une délicatesse remarquable, elle prit le gland avec ses dents et le mordilla afin de le faire rougir davantage. Une fois le but atteint, Rebecca engloba mon sexe jusqu’aux tréfonds de sa gorge tout en palpant mes testicules de ses mains expertes. Ses yeux me firent comprendre que le meilleur était à venir.

    D’un bond rapide, elle monta sur moi et m’offrit son sexe en guise de repas. Et quel sexe ! Une vulve d’une beauté que je n’avais jamais vue auparavant. Je titillais avec finesse ce clitoris qui ressemblait à une friandise étalée sur le comptoir d’une confiserie. Je savourais chacune des lèvres, telle une sucrerie, de sa vulve si admirable. Dégustant avec entrain chaque goûte de son jus de jouissance, je m’appliquais à suivre la posologie médicinale en bon patient que je suis. J’aspirai son clitoris à répétition, mais toujours en prenant soin de ne rien brusquer, tandis que de son côté elle pompa mon phallus tout en astiquant mes bourses de ses mains dignes de la plus belle des fées.

    Une clinique un peu spéciale

     

    Notre concentration à nos tâches mutuelles nous empêcha d’entendre la médecin-en-chef de la clinique entrer dans le cabinet. Oui, vous l’avez deviné. Il s’agit de la belle slave. Celle qui m’a si bien accueilli à mon arrivée. Elle arriva près de mon visage et me salua en m’embrassant avec une passion inégalée jusqu’à maintenant. Constatant l’accessibilité de l’anus de ma charmante Rebecca, elle lui octroya donc les plus grands plaisirs avec sa langue. Je n’ai jamais entendu autant de cris de jouissance et de plaisirs orgasmiques de toute ma vie.

    Elle ordonna à Rebecca de se coucher sur le dos afin de poursuivre le traitement de manière appropriée à ma problématique. C’est ainsi que cette dernière offrit à moi son sexe pour une pénétration fantasmagorique. Le terme est loin d’être exagéré puisque c’est la médecin-en-chef elle-même qui prit mon membre viril pour l’insérer dans la fente d’amour de la belle Rebecca. D’ailleurs, elle m’encouragea à faire un va-et-vient continuel en me caressant les testicules. Qui plus est ! Chaque coup de ma verge sur le fond de son couloir secret permettait auxdites testicules de frapper sur l’entrée interdite de son anus.

    Une clinique un peu spéciale

      

    Voyant dans mes yeux que ma jouissance se pointait à l’horizon, elle demanda d’un ton ferme mais aussi complaisant à Rebecca de se placer à ses côtés. Puis, d’un commun accord, elles se mirent à genoux afin de recevoir le fruit juteux de mes testicules. Ce qui ne tarda pas d’arriver avec l’aide d’une masturbation que me gratifia la charmante Rebecca jusqu’au moment fatidique où les deux comparses reçurent sur leurs visages le doux nectar blanchâtre en provenance de mon phallus gorgé de sang. Elles le captèrent avec un plaisir à peine voilée tellement leurs sourires en disaient long sur le résultat final.

    La cure médicinale avait atteint son objectif : Je pouvais jouir de nouveau.

    Épilogue

    Une fois le traitement terminé, Rebecca me suggéra de prendre une douche dans la salle de bain mise à la disposition des patients les plus privilégiés de cette clinique. Elle monta donc avec moi à un étage qui m’était jusque-là inconnue et me fit entrer dans une pièce où une salle de bain digne des plus grands hôtels se trouvait.


    Bien entendu, la séduisante Rebecca s’offrit pour me laver. Comment pouvais-je refuser sa proposition ? Elle me lava tout partout et avec une précaution sensationnelle. Une véritable infirmière ! Après la douche et avoir été parfumé au frais de la clinique,  je descendis les marches de l’escalier pour me diriger vers la sortie.

    Rebecca m’interpela avant que je puisse sortir. Elle me donna une enveloppe dans laquelle se trouvèrent les frais liés à mon traitement médical et cette note explicative.

     

    «Pour toi, c’est gratuit. Tu es le seul et unique Rollyboy.»

     

    Signé : Monica, directrice de la clinique

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